Quand une page se tourne, on aime bien aller relire les précédentes...
4 ans.
4 ans que je n'avais rien posté ici.
4 ans et de nombreux mois sans même songer à ce que j'avais bien pu y laisser...
J'ai passé trois ans de ma vie dans le Nord de la France, à faire un semblant de BTS que j'ai bien fini par obtenir. Trois ans pour un BTS, c'est beaucoup, peut-être me direz vous, mais j'ai des excuses... Disons qu'il y a eu une année d'installation, de prise de marque, de prise de vie. Peut-être que je reviendrai sur cette première année au Nord. Peut-être pas.
Une grosse page, quand même ; ce qui forge un homme. Premier appartement, compte en banque fluctuant, soirées dans son chez soi, décisions de vie rigoureusement unilatérales...
Tout le fait de ce post est que désormais, les études m'appellent à Paris... J'ai bien pris soin de rendre les affaires que j'avais emprunté à des amis, empaqueter toutes mes affaires et les déménager, alors, à l'aube d'une nouvelle tranche de vie qui commence, il est assez amusant de se replonger de sa vie d'avant. J'ai revu d'anciens amis, après moult discussions et brassages de souvenirs, il y avait ce joueb, soigneusement dissimulé et oublié. Un gros témoin de ce que j'étais il y a encore seulement quelques années.
Du positif ? Oui, à la pelle, dans la mesure ou je ne me retrouve pratiquement plus dans ce que j'ai bien pu pondre à cette époque. Ca me rappelle cette fois ou j'avais pris rendez-vous chez mon psy juste pour lui dire "ça y est, maintenant ça va". Mais c'est une forme d'archive, et comme toutes les archives, ça se stocke. Et heureusement, ça ne demande pas beaucoup d'entretien. Certes il y avait un petit élagage à faire, des choses du passé et qui doivent y rester, sans vitrine publique aucune... Des choses qu'il est de meilleur aloi de ne plus ressasser, vu que ce n'est plus d'actualité. Et même à l'inverse, de se dire "mais c'est fou ça, je pensais/j'étais comme ça, à cette époque ?" avec une certaine incrédulité devant les faits avérés. Un peu comme se voir dans les vidéos des ennuyeux dimanche après-midi de quand j'étais gosse.
Cela fait deux ans que je suis sincère quand je dis "ça va, ouais, tranquille." Je le jure (sur la tête de ma mère). De toutes façons, j'en ai reparlé, là récemment, avec les amis pas revu depuis perpèt', que ce genre d'expérience donne du plomb dans la tête.
De toutes façons, comme on dit, c'est de notre histoire qu'est issu le présent.
@ffaire à suivre, donc.
4 ans que je n'avais rien posté ici.
4 ans et de nombreux mois sans même songer à ce que j'avais bien pu y laisser...
J'ai passé trois ans de ma vie dans le Nord de la France, à faire un semblant de BTS que j'ai bien fini par obtenir. Trois ans pour un BTS, c'est beaucoup, peut-être me direz vous, mais j'ai des excuses... Disons qu'il y a eu une année d'installation, de prise de marque, de prise de vie. Peut-être que je reviendrai sur cette première année au Nord. Peut-être pas.
Une grosse page, quand même ; ce qui forge un homme. Premier appartement, compte en banque fluctuant, soirées dans son chez soi, décisions de vie rigoureusement unilatérales...
Tout le fait de ce post est que désormais, les études m'appellent à Paris... J'ai bien pris soin de rendre les affaires que j'avais emprunté à des amis, empaqueter toutes mes affaires et les déménager, alors, à l'aube d'une nouvelle tranche de vie qui commence, il est assez amusant de se replonger de sa vie d'avant. J'ai revu d'anciens amis, après moult discussions et brassages de souvenirs, il y avait ce joueb, soigneusement dissimulé et oublié. Un gros témoin de ce que j'étais il y a encore seulement quelques années.
Du positif ? Oui, à la pelle, dans la mesure ou je ne me retrouve pratiquement plus dans ce que j'ai bien pu pondre à cette époque. Ca me rappelle cette fois ou j'avais pris rendez-vous chez mon psy juste pour lui dire "ça y est, maintenant ça va". Mais c'est une forme d'archive, et comme toutes les archives, ça se stocke. Et heureusement, ça ne demande pas beaucoup d'entretien. Certes il y avait un petit élagage à faire, des choses du passé et qui doivent y rester, sans vitrine publique aucune... Des choses qu'il est de meilleur aloi de ne plus ressasser, vu que ce n'est plus d'actualité. Et même à l'inverse, de se dire "mais c'est fou ça, je pensais/j'étais comme ça, à cette époque ?" avec une certaine incrédulité devant les faits avérés. Un peu comme se voir dans les vidéos des ennuyeux dimanche après-midi de quand j'étais gosse.
Cela fait deux ans que je suis sincère quand je dis "ça va, ouais, tranquille." Je le jure (sur la tête de ma mère). De toutes façons, j'en ai reparlé, là récemment, avec les amis pas revu depuis perpèt', que ce genre d'expérience donne du plomb dans la tête.
De toutes façons, comme on dit, c'est de notre histoire qu'est issu le présent.
@ffaire à suivre, donc.
Pondu par Wolf-Rayet, on était Jeudi 9 Septembre 2010, 03:28 dans le tiroir ...+ Between +....
Boîte à suggestions
Ce retour en arrière.
Ce branle bas de combat, à une époque.
La vie continue. Tes mots aussi, je l'espère.
Au plaisir !